Après la chute des tours jumelles, je ne pouvais pas rester indifférent. J'ai imaginé la statue de la Liberté (en fer sculpté et soudé) surmontant un gratte-ciel (fer et bois). La main droite avec sa torche tente d'éclairer le monde alors que la main gauche essaye d'arracher un avion fiché dans la corps de l'immeuble. En exposition je dispose au pied de la sculpture des éléments de bois et de fer simulant les gravats de l'effondrement de la première tour. |